il y avait, y a plus, le vent passé absent siffle
à l’aveugle à travers une noire jachère
et bat de l’aile et en se calcinant
un sapin sec le châle de la mère
le lever, il fait jour, sur un mont soleil dansant, le rire
dans le rêve, ne cherche pas le coupable
le passé témoigne, le passé règne
dans le présent qui n’est pas
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Fabijoniškės, 2000.VIII.22–23
Braziūnas, Vladas. Būtasis nebaigtinis = Imparfait / Traduit du lituanien par Genovaitė Dručkutė. - Vilnius: Petro ofsetas, 2003. - P. 18-19;
Vilenica 2005: 20. mednarodni literarni festival / [urednici Miljana Cunta, Barbara Šubert]. – Ljubljana: Društvo slovenskih pisateljev, 2005. – P. 106;
Braziūnas, Vladas. Grandes sont les nuits / Traduit du lituanien par Genovaitė Dručkutė, Asta Uosytė-Būčienė et Marc Fontana. – Paris: L'Harmattan, 2007. – P. 14. – (Levée d'ancre);
http://www.lyrikline.org/index.php?id=163&L=1&author=vb02&po...